Comment vexer un vampire: Département des crimes vampiriques, T1 de Alice Winters

Rire de tout ses crocs !

Finn
Intégrer la seule unité d’élite composée de vampires était la partie la plus facile. Gérer mon nouveau partenaire, un ancien vampire, qui semble obnubilé par l’idée de me manger ? Jamais aucun humain n’avait mis les pieds dans cette unité, et Marcus est bien décidé à ce que cela ne change pas. Si seulement c’était mon seul problème… Traqué, j’ai presque tout perdu. Cette unité est mon dernier espoir d’une vie plus ou moins normale.

Marcus
À la seconde où cet humain casse-crocs est arrivé dans l’unité, j’ai su que je devais me débarrasser de lui. Tout le monde est rapidement tombé sous son charme, mais il refuse de voir le danger qu’il encourt à nos côtés. Pourtant, à force de côtoyer cet enquiquineur de première, je dois me rendre à l’évidence : il manque quelque chose dans ma vie. Tandis qu’un groupe se forme et menace d’ébranler l’alliance entre humains et vampires, mon unité est prise pour cible. Et le danger n’est jamais bien loin.

Mon avis

Ceux qui me suivent sur mon profil perso, savent que j’ai une dent contre mxm bookmark, et que je ne suis pas en odeurs de sainteté chez eux ou chez leurs passionarias, tout ça parce que j’ai choisi de faire de la critique franche et honnête et non de la pub ! je dis ce que je pense, je n’ai pas de sp, je paye tous mes livres (et je suis au chômage), mais je le réaffirme haut et fort au-delà de mes opinions je jugerais toujours honnêtement mes lectures ! si certains avait pu en douter.

Nous en venons donc à cette histoire de Alice Winters, dont je me suis régalé, c’est le genre d’histoire que je dévore, non pas obligatoirement pour le thème, mais le style, cet humour, que je retrouve chez Marie HJ, Charlie Cochet…, l’histoire est enlevé, le coté polar est bien dosé, ainsi que le suspense et les rebondissements, on ne s’ennuie pas une seconde, et l’humour de Finn, ahhhhh il m’a fait sourire, rire… mon dieu ce pauvre grognon de Markus, je me demande comment il fait, leurs interactions sont savoureuses. et c’est là ou on voit qu’un bonne traduction est hyper importante, pour avoir toutes les subtilités de l’humour, des jeux de mots et surtout de l’alchimie des personnages, la-elle sublime le talent de l’auteur, on en redemande, Cher Maison d’Edition on embauche ce/cette traducteur/trice pour les autres titres (notamment les Eden Finley !).

Vous avez besoin d’un coup de boost, d’une lecture coup de cœur, d’un bon moment d’humour doublé d’un bon polar, foncez !
Février le tome 2 j’ai hâte !