Un passé qui revient !

Mon avis

 Je suis un passionné d’histoire, j’ai donc abordé ce roman avec une petite appréhension, vu l’époque, le sujet…, mais surtout les échos d’un passé qui revient et se rappel à nous, l’histoire ne se répète pas elle bégaie est une de mes citations préférées. Je me suis donc dit que le moment de lire ce roman était venu, depuis le temps que Déborah me le demande.

Des le début j’ai été happé, par ce journal, rappel de mes lectures historique et de mes cours d’histoire, mais ça restera toujours un choc, c’est une histoire sous forme de témoignage, c’est dur, sans concessions, on sait que l’on ne peut rien changer, que l’auteure ne peut elle non plus rien changer à l’histoire, elle est ce qu’elle est ! le Titanic a coulé, on le savait, les camps on existé, on le sait, et on connaît la tragédie.

Oh que j’ai détesté Werner, je l’ai haï !, au fur et à mesure du récit on rentre dans sa tête dans le pourquoi, on comprend les manipulations, les endoctrinements, les mensonges, du coup la fin du livre la question sera pardonne-t-on, moi non, faites-vous votre avis, par contre j’ai compris, il y a des circonstances et des explications.

 Sans rien révéler ni divulgâcher (j’adore ce mot), ne vous attendez pas à une fin heureuse, c’est la guerre, ce n’est jamais une happy end la guerre.

Oui c’est un livre dur, oui Deborah a une plume qui va vous déchirer le cœur, mais a un moment quant des fous sont prêt à commettre des horreurs pour un lopin de terre, un ego surdimensionné ou je ne sais quoi…, il ne sert à rien de faire l’autruche, révisez votre histoire, venez voir ce que la guerre donne, ça vous dira pourquoi on doit aider des familles en détresse, pourquoi nous devons agir, avant que dans quelques années nous ayons un autre journal d’un grand-oncle Boris !

Une lecture que je conseille fortement, pour la mémoire.

Livre en précommande, sortie le 29 Avril.